Jan 2014 | n° 24 | 4:24
Le RTB est une belle idée, soutenue par un outillage technologique sophistiqué et dont l'apparition s'est fait au terme d'un processus historique touchant le développement des inventaires et l'accroissement des invendus. Comprendre comment un marché s'est développé n'est pas anodin : cela permet de mieux appréhender les procédés d'achats actuels, et donc de mieux les utiliser.
Jan 2014 | n° 24 | 3:17
L'environnement ou l'écosystème du RTB est complexe et fédère différents types d'acteurs. AdExchanges, bien sûr, mais aussi trading desks, SSP, DSP, sans parler bien entendu des deux groupes fondamentaux qui, aux deux extrémités de la chaîne, justifient tout les maillons intermédiaires, à savoir les annonceurs et les éditeurs. Et ceux-là sont très nombreux, puisqu'on les compte en milliers. On imagine donc que le système destiné à faire collaborer tous ces acteurs les uns avec les autres n'est pas simple. Nous avons demandé à nos experts de nous en décrire l'architecture générale.
Jan 2014 | n° 24 | 2:41
Le RTB est donc un système complexe permettant de mettre relation automatiquement, en temps réel, les annonceurs avec les éditeurs, disposant d'espaces publicitaires à vendre, les fameux inventaires. Et tout ceci sur un modèle d'enchères. Il faut donc dans cette affaire un versant, une interface si l'on veut, destinée spécifiquement aux éditeurs. Tout comme les annonceurs en ont une d'ailleurs. Côté éditeurs, on parle de SSP. Qu'est ce qu'un SSP ? Que fait-il exactement ? Peut-on s'en dispenser ? Réponses d'experts.
Jan 2014 | n° 24 | 4:11
Nous avons eu plusieurs fois l'occasion de signaler que le RTB était une grosse mécanique, d'une certaine complexité. Logiquement, on peut donc s'interroger : tous les éditeurs auront-ils intérêt à faire appel aux AdExchanges pour commercialiser leurs inventaires ? En fonction de leur taille, et de l'importance que représente pour eux la vente de leurs espaces publicitaires, des stratégies différentes peuvent-elles se mettre en place d'un éditeur à l'autre ? Ecoutons les spécialises de MD Expert TV.
Jan 2014 | n° 24 | 3:16
Pour optimiser et affiner le ciblage des campagnes achetées sur le RTB, des fournisseurs de données tierces sont apparus, proposant leurs informations au travers de DMP, c'est-à-dire de Data Management Plateform. Qu'est-ce qu'un DMP ? Comment fonctionne-t-il et à quoi sert-il ? Quels sont les modèles économiques qui permettent l'utilisation de ces données complémentaires conjointement à l'achat d'un espace publicitaire à l'endroit même où se trouve les internautes du profil ciblé ?
Jun 2013 | n° 23 | 4:24
Au cœur du système du real time biding (RTB) prennent place les AdExchanges, également appelées places de marché publicitaires ou plateformes programmatique. Pour les experts que nous avons interrogés, ces AdExchanges dérivent des AdNetworks, plus anciennes. Elles en reprennent la notion de regroupement de l'offre, mais provoquent une véritable révolution dans l'achat publicitaire display en adoptant la méthode de vente mise en place par Google, l'enchère. Voyons cela de plus près...
Jun 2013 | n° 23 | 3:53
Nous l'avons vu dans notre sujet précédent, le cœur du RTB est occupé par les AdExchanges. Mais ces places de marché publicitaires sont complexes. Aussi, les annonceurs travaillent-ils généralement plutôt avec des ATD, également dit des Trading Desks. Commençons donc par le commencement : un Trading Desk, qu'est-ce que c'est exactement ? Et que vient faire là-dedans le DSP, acronyme de Demand Side Plateform ?
Jun 2013 | n° 23 | 3:38
Le RTB semble parfois être une grosse machine, nécessitant des outils complexes, et de sérieuses compétences pour les manipuler. En conséquence, les annonceurs peuvent légitimement s'interroger : le RTB, c'est vraiment pour TOUS les annonceurs ? Les spécialistes répondent sur MD Expert TV.
Jun 2013 | n° 23 | 3:29
Le Real Time Bidding, qu'on nomme par son acronyme RTB, n'est pas une chose si simple. Afin de bien en comprendre les mécanismes, quelques explications sont nécessaires. Mais pour commencer, tâchons d'en cerner les grandes lignes : enchères, achats de profils, échanges quasi instantannés entre les acteurs que sont les vendeurs d'espaces et les annonceur... Voici qui suffira bien pour notre introduction, qui ne restera donc qu'une introduction, et certainement pas une définition ultime du RTB. Ouvrons la danse...
Jun 2013 | n° 23 | 4:08
A ce stade de nos explications, l'objectif est bien posé pour l'annonceur : dès qu'un Internaute répondant au profil demandé est identifié sur un site adhérant à un RTB, et qu'un espace publicitaire est disponible, une impression, c'est-à-dire l'affichage d'une bannière est proposée. Pour accéder à cette impression, l'annonceur doit proposer son enchère, car d'autres peuvent désirer également utiliser cette impression. Alors, quels sont les coûts pratiqués ? Et quel budget faut-il mettre sur la table ? Réponses d'experts....
Mar 2013 | n° 21 | 4:25
Pour opérer des campagnes d'eMail marketing, il faut bien entendu disposer des adresses électroniques en question. Celles-ci peuvent être louées à l'extérieur, pour une opération de prospection. Mais dès qu'il s'agit de fidélisation, il est nécessaire que l'entreprise dispose de sa propre base de données CRM, regroupant les coordonnées de ses clients et de ses prospects identifiés. Nous avons déjà abordé dans une de nos précédentes émissions la question de la mise en place des bases de données marketing. Revenons aujourd'hui sur ce sujet : à quoi sert une base de données, quel budget prévoir pour la développer et à qui la confier ?
Dec 2012 | n° 19 | 2:48
Les sites qui mettent en relation clients et fournisseurs au travers d'une demande de devis ne datent pas d'hier. Ils sont apparus tôt dans l'histoire du Web. Retracer brièvement leur historique permet d'identifier les précurseurs, qui sont souvent, encore aujourd'hui, les acteurs les plus en vue. Écoutons nos invités nous rappeler la naissance de ce marché bien particulier du marketing digital...
Dec 2012 | n° 19 | 3:28
Ils existent tant dans l'univers professionnel que dans la galaxie des services grands publics. On peut les rapprocher des comparateurs de prix, mais ils fonctionnent différemment, et ne concernent pas les mêmes produits. Les sites de demandes de devis en ligne sont des services Web bien particuliers, que les marketers peuvent utiliser judicieusement. Comme de coutume, commençons par poser ce dont il est question. Qu'est-ce donc qu'un site de devis ? Et qu'est-ce qu'une demande devis ?
Dec 2012 | n° 19 | 3:18
Un principe général regroupe l'ensemble de sites de vente de devis : la commercialisation de leads associés à un projet d'achat. Mais au-delà de cette règle fédératrice, les entreprises positionnées sur ce marché ne sont pas toutes rémunérées de la même façon. Certaines produisent des leads qu'on peut qualifier de bruts, pour les revendre à d'autres plate-formes, lesquelles vont les requalifier et les commercialiser à nouveaux après d'entreprises qui, enfin, chercheront à les exploiter. D'autres se rémunèrent uniquement sur la transformation éventuelle du leads en client. Ces fines différences trouvent notamment leur justification dans la nature des produits et services en jeu, comme l'expliquent les invités de MD Expert TV.
Dec 2012 | n° 19 | 3:07
Pour les experts que nous avons interrogés à l'occasion de cette émission, trois bonnes pratiques permettent d'optimiser l'usage d'un service de devis en ligne. Et comme vous allez le voir, en dépit de leur appartenance à des secteurs bien différents, nos invités s'entendent plutôt bien sur la nature de ces best practices.
Mar 2012 | n° 14 | 4:06
Google est décidément partout ! Une fois de plus, sa position de carrefour du Net ne se dément pas : en abordant l'eRéputation, nous nous attendions à ce que nos invités nous parlent essentiellement de réseaux sociaux, de blogs ou de forums. Mais non. L'empereur des moteurs de recherche semble là encore affirmer sa présence incontournable.
Mar 2012 | n° 14 | 4:06
Comme vous allez le constater, nos invités estiment majoritairement qu'une bonne gestion de la eRéputation s'opère en interne, au moins pour partie. Ceci n'exclut toutefois pas le recours à des prestataires ou à des agences conseils. D'abord afin de se doter des outils technologiques indispensables, ainsi que des services de veilles. Mais aussi pour accompagner l'entreprise. Car si certaines tâches profiteront d'une internalisation, ce n'est pas le cas de toutes.
Mar 2012 | n° 14 | 3:28
Selon nos invités, un budget de la gestion de sa eRéputation est comparable à celui qu'on consacre à une gestion de la relation presse. Il se divise en deux postes, dont l'un est manifestement plus important que l'autre. Reste que des solutions existent pour les entreprises de plus petites tailles. Mais laissons nos invités nous donner des ordres de grandeur.
Feb 2012 | n° 13 | 3:34
La prise de parole de l'entreprise sur les réseaux numériques, c'est-à-dire sur ses propres plates-formes électronique ou sur les services communautaires externes, a impliqué le développement de nouveaux métiers. Des expertises dans la communication ou la qualité sont impliquées, mais avec des orientations différentes de celles qu'on connaissait jusqu'à présent. Écoutons nos experts nous les décrire...
Feb 2012 | n° 13 | 3:43
On a compris que l'eRéputation était un indicateur qu'il convient de surveiller, qu'il existe des outils pour cela. D'accord. Mais maintenant, passons dans au cas pratique. En cas de bad buzz, que faut-il faire ? Comment réagir si, pour une raison ou un autre, on observe une variation importante dans sa eRéputation ?